Marc Lévêque
2013
Intervenir sur le cerveau, ce territoire intime de l’esprit et de l’identité, peut apparaître transgressif et hasardeux. Comment justifier cette intrusion, et selon quelles règles déterminer de bonnes pratiques professionnelles lorsque l’acte chirurgical semble légitimé ? Qu’en est-il pour la personne malade de sa faculté d’exprimer un consentement libre et éclairé, lorsque ce qu’elle vit au quotidien lui semble à ce point insupportable que toute alternative thérapeutique, y compris incertaine, pourrait s’avérer préférable.